Pour beaucoup d’observateurs, il faut désormais chercher un autre nom à donner à la Coalition des 14 partis de l’opposition. Les principales raisons qui justifient cette assertion sont les informations faisant cas d’un certain nombre de défections de partis qui composent cette organisation.
Après la sortie du PNP la semaine dernière, celle du CAR et bien d’autres partis, il y a lieu de se demander si la coalition des 14, après les législatives du 20 décembre 2018 et des marches qui n’ont mobilisé que très peu de Togolais a perdu toute la puissance qu’elle a.
La coalition semble ne plus avoir de poids sur l’échiquier politique national et les divergences de ses membres n’arrangent pas non plus son image, mais faut-il sacrifier tout au nom de la mésentente et des ambitions personnelles et faire cavalier seul comme cela a toujours été le cas dans notre pays ?
Quelle est la plus puissante formation politique du pays ? Peut-on obtenir l’alternance si tous les partis de l’opposition agissent en solo et poursuivent chacun leurs ambitions personnelles ? Les morts et les exilés ont-ils été sacrifiés inutilement ? Des questions que nous invitons les partis membres de la Coalition à se poser.
La rédaction de la CTS
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